Cependant, le retour de la bourgmestre de Kanzala, Esther Badibiabia, a été marqué par une décision controversée : la destruction des hangars des petites et moyennes entreprises le long du boulevard Lumumba.
Cette action a provoqué l'indignation des habitants, qui dépendent de ces échoppes pour leur subsistance.
La bourgmestre a agi sans consultation préalable, laissant les commerçants dans l'incertitude. Les questions fusent : où ces travailleurs sont-ils censés aller ? Quelle solution leur est proposée ?
Étant la première autorité communale, elle devrait faire un communiqué signifiant la destruction à venir de tous hangars de vente qui sont le long de la route.
Les habitants se sentent ignorés et réclament des explications. Une communication transparente est essentielle pour restaurer la confiance.
Pour éviter de telles situations à l'avenir, il est crucial que la commune de Kanzala engage une discussion avec les acteurs concernés. Une approche qui intègre les besoins des débrouillards pourrait transformer les défis en opportunités.
En somme, les travaux d'assainissement à Tshikapa sont nécessaires, mais ils ne doivent pas sacrifier les moyens de vie des citoyens.
La bourgmestre doit trouver un équilibre entre l'assainissement et le soutien à l'économie locale.
Par Gilbert MUKUAYA
DRC NEWS.NET
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