La récente plainte montée de toutes pièces contre les membres de la famille du chef de l'état, son excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, constitue un acte flagrant de déstabilisation institutionnelle, orchestré par un réseau politico-affariste mené par Moïse Katumbi et Joseph Kabila, dont l'objectif n'est nullement la justice, mais plutôt l'affaiblissement symbolique et stratégique du pouvoir en place. En exploitant des instruments judiciaires détournés à des fins partisanes, en manipulant un certain Muteba.
* Personnage instable, ancien de l'Agitamine, instrumentalisé au sein d'ONG fictives
* Cette coalition de la honte tente d'installer dans l'opinion publique une logique de soupçons généralisées, en ciblant neuf membres de la famille présidentielle.
Pourtant, cette démarche, qui repose sur le mensonge, la fabrication et la calomnie, révèle surtout l'angoisse d'un ancien système désavoué par le peuple, incapable de se réinventer autrement que par le harcèlement institutionnalisé et la stratégie du chaos.
Il est d'autant plus inacceptable que Moïse Katumbi porte la lourde responsabilité de l'appauvrissement structurel du Katanga et du dépérissement de nos entreprises publiques, à travers une gouvernance marquée par le clientélisme , les détournements et une fiscalité abusive imposée à des populations déjà précarisées.
En tant qu'acteur politique lucide et attaché aux fondements républicains, je condamne avec fermeté cette campagne de diffamation dirigée contre la plus haute institution de la République, et j'en appelle à un sursaut national pour préserver la dignité de l'état, la stabilité des institutions, et l'honneur des familles qui portent le destin du Congo avec responsabilité.
Le peuple congolais doit demeurer vigilant face aux stratégies de régression politique orchestrées par ceux qui, hier, ont pillé notre nation et cherchent aujourd'hui à s'imposer par la confusion et la ruse.
Mardochée Nsele
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